Ballade

Angel voyageait dans les rue luxueuse de l'Atlantide. Il était accompagné de plusieur serviteur, et était habillé comme les gens du "peuple".

Il se trouva à une bifurcation.

"Allez vous en! Je reste à présnt seul. dans les quartiers je ne risque rien. Et je vous rappelles que j'ai toujours Hermès, Aphrodite, Artémis et Arès."

Ce qu'il appelait ainsi était ses quatre shurikens.

Hermès était blanc, et une paire d'aile y était gravé.

Athéna était bleu, et un miroir y était gravé.

Artémis était vert, et un arc y était gravé.

Arès était rouge, et une épée y était gravé.

Après que ses serviteurs soient partis, Posé se dirigea vers le bruit de la foule pour s'y méler.

Au milieu de la foule, Nayadañë dansait. Le bruit de ses bracelets bien que charmeur, ne semblait pas attirer les regards des Tsunamis, qui passaient près d'elle, sans la voir. La jeune danseuse ne s'arrèta pas pour autant, gardant l'espoir que quelqu'un finirait par lui jeter une pièce. Il fait faim, par ici...

Posé se frayait un chemin dans la foule quand il entendit des bruit de bracelets. Il regrada en direction de ces bruits, et vit qu'ils étaient produit par une ravissante danseuse que personne ne daignait regarder.

Angel la contempla dansait, il aimait pratiquement toute forme d'art, et la danse ne faisait pas exeption.

Voyant qu'elle avait devant elle un receptacle, il l'y lança une belle quantité de pièce, et regarda à l'amirer.

Lorsqu'elle entendit l'argent tomber, Naya s'arrèta de danser, et contempla les pièces, puis l'homme qui les avait lancées, bouche bée. Puis elle sourit légèrement et s'inclina.

merci

Elle se redressa, ne sachant quoi faire.

"Mais de rien. Vous savez j'ai l'habitude de récompenser ce qui est beau, et votre danse méritait bien ces pieces. Mais continuez je vous en prie, ne vous arrêtez pas."

Puis Posé fit tinter sa bourse pour bien montrer que celle-ci était pleine, et qu'il était bien décidé à l'alléger pour elle.

Naya rougit violemment et secoua la tête en le voyant secouer la bourse d'argent.

non. monseigneur, non. rangez votre argent, je vous en prie!

Elle se sentait absolument génée, considérée comme une... une moins que rien.

"Ne m'appellez pas Monseigneur, vous êtes une Tsunamie, vous devriez en être fière et ne pas vous rabaissr, nous sommes tous égaux. Et si j'ai décidé de vous donner cette argent c'est que je le veux bien. Il est normale que je paie pour pouvoir assister à un si beau spectacle."

J'ai, justement, ma fierté. et je refuse que vous me donniez tout cet argent! merci pour la première partie, mais rangez le reste, je n'en veux pas.

Naya se remit à danser, tout en le regardant.
°il a l'air plus jeune que moi°
Ses bracelets tintaient avec plus d'intensité qu'auparavant.

"Comme vous le voudrez Mademoiselle. Mais sachez qu'un cadeau ne se refuse pas en général. mais vu votre charme, je fermerait les yeux là dessus."

Il lui souriat, et cell-ci se remit à danser, et Posé continua à la regarder.

°un cadeau se refuse lorsqu'il n'est pas nécessaire°
Nayadañë sourit au jeune homme. Lorsqu'elle eut fini sa danse, qui était assez courte, elle le salua.

Je me nomme Nayadañë, je suis danseuse et... il est l'heure que je change de quartier!!

Elle désignait, légèrement affolée, deux jeunes Tsunamis aux airs plutôt méchants s'avançaient dans leur direction.

Posé regarda les deux jeunes Tsunamis à l'air méchants se dirigeaient vers eux.

"Qui sont-ils? Et que veulent-ils?"

Posé comptait joué sur son grade pour protéger la jeune artiste.

deux crapules, mon argent.

Elle ramassa ses affaires, et commença à courir vers une ruelle proche. Les deux voyous se mirent à courir eux aussi.

"Attendez je vais m'en occuper."

Mais il était trop tard la danseuse avait déjà fuit, et ses deux ennemis la poursuivaient.

"Hé, petite minute!"

Il prit un shuriken vert.

"Vas-y Artémis!"

Il lança le suriken qui se divisa en deux. Chacun des morceaux poursuivit un des deux bandits.

Les deux voyous, plutôt lâches, repartir en courrant d'où ils étaient venus.
Naya,qui avait laissé tomber sa cape, revint sur ses pas. Elle sourit à Posé.

Merci.

Les deux bandits s'enfuirent en voyant Artémis. La danseuse remercia Posé.

"Mais de rien mademoiselle."

Il alla ramasser Artémis qui s'était réunifiée.

"Allons ailleurs si cela ne vous dérange pas."

A présent toute la foule les regardait.

Et c'est où, ailleurs?

Naya eut l'air inquiète.

excusez-moi, mais j'ai du mal à faire confiance au premier venu.

"Je parle d'un endroit où ce genre de bandit ne pourront vous retrouvez. Mais je comprend que vous ne faites pas confiances à un inconnu. C'est vous qui décidez. Mais moi, je m'en vais. Alors c'ets à vous de voir, si vous voulez me suivre ou non."

Nayadañë enfila sa cape, et suivit Posé, en regardant le sol, se damandant ce qu'elle était en train de faire.

Posé remarque que la danseuse le suivait. Il entraina dans les quartier riche de cette ville, jusqu'à devant une luxueuse demeure.

"Nous voilà chez moi. Ha oui, au fait, je m'appelle Posé."

et moi Nayadañë, si je ne l'ai aps déjà dit...

La danseuse regardait la maison, un vague sourire sur les lèvres.

"Enchanté Nayadañë, de faire votre connaissance."

Il appella des domestiques.

"Veuillez dire à mes parents qu'on a de la visite."

Après que les grilles s'ouvrent, il invita à Nayadañë de rentrer.

"A près vous, je vous pris."

Nayadañë entra, n'ayant pas l'impression d'avoir le choix

Posé entra donc après Nayadañë. Il lui fit signe si elle le voulait bien de le suivre jusquà sa grande demeure luxueuse.

"Dites-moi. Qu'est qu'ils vous voulaient vraiement ces bandits?"

Posé ne savait pas pour quoi, il le demandait. C'était comme ça, il se sentait plus ou moins obligé d'aider cette artiste de rue.

Naya rougit, et regarda le sol.

je... cela ne.... ne vous regarde pas.

"Comme vous le voulez, c'est vous qui voyez. Ha oui, faites comme chez vous."

Des domestiques apparurent pour prendre leurs affaires.

"Merci"

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